Carnets intimes

(La Table Ronde)
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«Ce que je redoute le plus, je crois, c’est la mort de l’imagination. Quand le ciel, dehors, se contente d’être rose, et les toits des maisons noirs, cet esprit photographique qui, paradoxalement, dit la vérité, mais la vérité vaine, sur le monde.» Sylvia Plath a vingt-quatre ans lorsqu’elle évoque cette hantise dans un journal dont les pages sont l’écho de ses aspirations contradictoires, tantôt idéales, tantôt futiles. Ce livre propose également neuf nouvelles autobiographiques, qui complètent l’œuvre en prose de la poétesse américaine mystérieuse et fragile.
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