Douée pour le silence

(La Martinière)
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" Moi, je sais, depuis le début, ce qui se passe : quand le cœur souffre, le corps traduit, d'une manière ou d'une autre. A force de ravaler, ravaler, sans jamais rien dire, à force de garder les lèvres verrouillées, j'ai fini par m'automutiler. Une sorte d'anorexie des sentiments. "
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