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À première vue, c'est le crime parfait. Un riche propriétaire lègue ses biens à l'abbaye de Shrewsbury en échange d'une paisible retraite... et meurt en dégustant une perdrix ! Quelle main criminelle a versé dans le plat quelques gouttes de poison provenant de la pharmacie de frère Cadfael ? Les suspects ne manquent pas, à commencer par les héritiers de la victime. Il faut toute l'ingéniosité de Cadfael, ce Maigret du XIIe siècle, pour démêler l'intrigue diabolique qu'a tissée Ellis Peters, la reine incontestable du suspense féodal.
Ellis Peters, de son vrai nom Edith Pargeter, est née en 1913 dans le comté de Shropshire, à la lisière du pays de Galles. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle entre au Women's Royal Navy Service. Ses activités au département des communications lui valent la British Empire Medal, qu'elle reçoit des mains du roi George VI. Elle étudie par ailleurs la langue et la littérature tchèques dont elle traduira plusieurs ouvres majeures en anglais. Après la guerre, elle publie ses premiers livres, des romans historiques, sous son vrai nom. Sa trilogie - La Pierre de vie, Le Rameau vert et La Graine écarlate -, située au temps des bâtisseurs de cathédrales, rencontre un grand succès auprès de la critique et du public. Puis, en 1959, son roman policier mettant en scène l'inspecteur George Felse sera le premier d'une série de douze titres, qu'elle signe alors sous son pseudonyme. Mais c'est en 1977, avec Trafic de reliques, première chronique de la série médiévale « Frère Cadfael », qu'elle initie un nouveau genre dans lequel elle va passer maître. Cette série compte aujourd'hui vingt et un volumes. Décédée en octobre 1995, Ellis Peters a été élevée au rang de OBE (officier de l'ordre de l'Empire britannique), pour services éminents rendus à la littérature.
Ellis Peters, de son vrai nom Edith Pargeter, est née en 1913 dans le comté de Shropshire, à la lisière du pays de Galles. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle entre au Women's Royal Navy Service. Ses activités au département des communications lui valent la British Empire Medal, qu'elle reçoit des mains du roi George VI. Elle étudie par ailleurs la langue et la littérature tchèques dont elle traduira plusieurs ouvres majeures en anglais. Après la guerre, elle publie ses premiers livres, des romans historiques, sous son vrai nom. Sa trilogie - La Pierre de vie, Le Rameau vert et La Graine écarlate -, située au temps des bâtisseurs de cathédrales, rencontre un grand succès auprès de la critique et du public. Puis, en 1959, son roman policier mettant en scène l'inspecteur George Felse sera le premier d'une série de douze titres, qu'elle signe alors sous son pseudonyme. Mais c'est en 1977, avec Trafic de reliques, première chronique de la série médiévale « Frère Cadfael », qu'elle initie un nouveau genre dans lequel elle va passer maître. Cette série compte aujourd'hui vingt et un volumes. Décédée en octobre 1995, Ellis Peters a été élevée au rang de OBE (officier de l'ordre de l'Empire britannique), pour services éminents rendus à la littérature.
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