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                                    «On le sait, chaque automne depuis cent ans, le Goncourt est attribué au livre le plus insignifiant de la rentrée. Si l’utilité de ce prix-repoussoir n’est plus à prouver – il montre à nos jeunes écrivains les voies littéraires sans avenir –, il ne faut pas oublier trop vite les goncourables, ces malheureux qui passent deux mois dans une grande détresse morale à attendre le verdict. Ils sont chair et tripes, ces gens-là, et ils ont mal à l’amour-propre. Peu de supplices sont comparables à ceux d’un pauvre bougre en sursis du Goncourt!»
                                
                             
                                         
                                         
                                         
                                         
                                         
                                         
                                         
                                         
                                         
                                         
                                         
                                         
                                         
                    
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