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C'est dans les pourpres et les ors de l'automne que l'année commence vraiment. Dans l'enfouissement de la lumière et l'éclat des feuillages, tout à la fois. Les mots s'égouttent, la parole s'affûte dans les gris, aspire aux pastels tendres des feuillages. L'année s'exprime. Tout est dit au marcheur quand il sait écouter.
Qu’en avez-vous pensé ?