Pubères, putains

Porches, porchers - stabat mater
(Labor)
0.0 ( 0 votes )

Porches, porchers ; fumiers fumants et ritournelles de gredins font bon ménage, le temps d'une longue invective... Et ces misérables coquins n'aiment rien de moins que le stupre, le sang, les vomissements et la vindicte.

Pubères, putains, et le poète parsèment de paroles lancinantes et explosives sa puberté visqueuse.

Stabat mater, et l'enfant naît, tendre et violent, comme sa parturition.

En somme, un hymne à la logorrhée, à la diatribe infectée de pulsions...
Améliorer la fiche

Qu’en avez-vous pensé ?