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Quand « le Petit », après quinze années, sort de prison et revient à Malaveil, chacun devine, au village, qu'il va se passer quelque chose. Car « le Petit », pendant ces quinze années, il a eu le temps de se poser des questions et il s'est peut-être fait une idée de celui - ou de celle - qui lui a collé sur le dos ce crime atroce qu'il n'a pas commis. A Malaveil, il y a de drôles de jours qui se préparent...
Mais le roman de Claude Courchay n'est pas seulement le récit d'une vengeance. C'est, avant tout, et paradoxalement, l'un des plus beaux livres qu'aient inspiré l'amour maternel et l'amitié, un livre tout de douleur et de tendresse.
Quelquefois, il ne faut pas avoir honte d'être bouleversé au plus profond de soi, il ne faut pas avoir honte, lorsqu'il s'agit d'une oeuvre qui vous marque, qui vous broie, d'une oeuvre dont on ne sort pas indemne. Et c'est le cas avec Retour à Malaveil.
Mais le roman de Claude Courchay n'est pas seulement le récit d'une vengeance. C'est, avant tout, et paradoxalement, l'un des plus beaux livres qu'aient inspiré l'amour maternel et l'amitié, un livre tout de douleur et de tendresse.
Quelquefois, il ne faut pas avoir honte d'être bouleversé au plus profond de soi, il ne faut pas avoir honte, lorsqu'il s'agit d'une oeuvre qui vous marque, qui vous broie, d'une oeuvre dont on ne sort pas indemne. Et c'est le cas avec Retour à Malaveil.
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