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Je me dirige vers la porte qui donne sur la terrasse et pousse le commutateur pour éclairer. Je ne vois d'abord rien… que la neige. Mais maintenant, c'est vrai, j'entends clairement le petit grattement. Je baisse les yeux et je croise un regard. Deux yeux gris vert, brillants, qui semblent n'appartenir à aucun corps. Je reste un moment interpellé. Puis, je vois une petite patte qui, précise et insistante, tape ses griffes contre la vitre de la porte. C'est un chat, un gros chat, un gros chat noir. Au-delà de l'absurdité de la mascarade sociale et de l'incertitude de l'"après", un chat apprend à Bob à vivre… à simplement vivre.
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