0.0
                                    ( 0 votes )
                                
                                
                                                        
                                    «Lorsque paraissent en 1984 les Vies minuscules, Pierre Michon est inconnu du milieu littéraire. C'est à peine s'il a déjà publié un texte en revue. Ce premier livre suscite cependant un important écho auprès des écrivains, sinon du grand public, qui mettra plus longtemps à le découvrir. Car il innove profondément dans une littérature elle-même en mutation et répond à des préoccupations latentes qu'il contribue puissamment à faire advenir sur la scène littéraire. À ce titre, il est symptomatique du bouleversement esthétique qui caractérise le début des années quatre-vingt, lesquelles voient la remise en question des principes et des pratiques d'écriture en vigueur depuis près de deux décennies.»
Dominique Viart.
                            Dominique Viart.
                            
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                                        
                    
Qu’en avez-vous pensé ?