4.5
( 6 votes )
Recommandé par
5 DéLecteurs
5 DéLecteurs
L'Arabe du futur est une série best-seller en six tomes, écrite et dessinée par Riad Sattouf. Sous-titrée "Une jeunesse au Moyen-Orient", elle raconte l'enfance et l'adolescence de l'auteur, fils aîné d'une mère française et d'un père syrien. L'histoire nous mène de la Libye du colonel Kadhafi à la Syrie d'Hafez Al-Assad en passant par la Bretagne, de Rennes au cap Fréhel. Dans ce cinquième tome (1992-1994), Riad Sattouf raconte son adolescence.
Dans ce nouveau tome de L'Arabe du futur , Riad a 14 ans, ses cheveux blonds ont disparu, et il a un physique difficile.
À la fin du tome précédent, son père s'est enfui en Syrie avec son plus jeune frère, Fadi. Tandis que sa mère utilise tous les recours légaux pour récupérer son fils, Riad poursuit son exploration de cet âge pénible qu'est l'adolescence et se réfugie dans le paranormal. Il devient copain avec les exclus de sa classe, qui lui font lire Lovecraft, et rencontre Anaïck, la femme de sa vie.
Grâce au dessin, il arrive à se faire – un peu – respecter. Mais il a du mal à trouver sa place, partagé entre l'envie d'être comme les autres et sa mauvaise conscience venue de Syrie, qui se rappelle à lui à travers les voix de son père et de ses cousins...
Dans ce nouveau tome de L'Arabe du futur , Riad a 14 ans, ses cheveux blonds ont disparu, et il a un physique difficile.
À la fin du tome précédent, son père s'est enfui en Syrie avec son plus jeune frère, Fadi. Tandis que sa mère utilise tous les recours légaux pour récupérer son fils, Riad poursuit son exploration de cet âge pénible qu'est l'adolescence et se réfugie dans le paranormal. Il devient copain avec les exclus de sa classe, qui lui font lire Lovecraft, et rencontre Anaïck, la femme de sa vie.
Grâce au dessin, il arrive à se faire – un peu – respecter. Mais il a du mal à trouver sa place, partagé entre l'envie d'être comme les autres et sa mauvaise conscience venue de Syrie, qui se rappelle à lui à travers les voix de son père et de ses cousins...
Qu’en avez-vous pensé ?