Reincarnation Blues

(Bragelonne)
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Le récit débordant d'imagination d'un homme qui connaîtra dix mille vies pour garder son plus grand amour : la Mort elle-même.

Nous vivons. Nous mourons, puis… on peut retenter le coup, c’est ça ?

Des essais, vous en avez même dix mille. Dix mille tentatives pour « aller au bout » : trouver une réponse aux interrogations métaphysiques les plus profondes, devenir un parangon de sagesse et ne plus faire qu’un avec le Grand Tout.

Milo a déjà grillé 9 995 cartouches, aussi ne lui reste-t-il plus que cinq chances de fusionner avec l’Âmultime. S’il n’y parvient pas, c’est le Néant qui l’attend. Milo qui lui ne désire rien de plus que s’abandonner aux bras de la Mort… ou Suzie, comme il l’appelle.

Plus que celle qui partage son cœur et son lit durant ses innombrables intermèdes dans l’Après-vie, Suzie est l’unique raison de vivre de Milo : chaque fois qu’il plonge vers une nouvelle incarnation, il prie pour revenir au plus vite à ses côtés et y demeurer à tout jamais.

Mais ce récit représente bien plus qu’une grande histoire d’amour : du berceau à la tombe, chaque nouvelle existence offre à Milo une pièce du puzzle cosmique, et il ne tient qu’à lui de le reconstituer entièrement s’il souhaite enfin fusionner avec le Grand Tout, cette entité absolue plus infinie que l’infini lui-même.

D’un charme aussi noir que les textes de Neil Gaiman et d’un humour dont la finesse évoque Kurt Vonnegut, ce roman raconte ce qui fait l’insondable richesse, la beauté, l’absurdité et l’émotion désarmante de la vie.

« Charmant… étonnamment léger et inspirant… l’auteur s’amuse et nous aussi. » New York Journal of Books

« Des histoires d’hommes et de dieux, entre Neil Gaiman et Douglas Adams. » Kirkus Review

« Le récit le plus drôle que vous lirez à propos d’un homme qui a été à la fois tué dans un accident de catapulte et de voiture. » NPR

« Ce livre vous fera rire et pleurer à quelques pages d’intervalle. Rappelant Tim Robbins et Christopher Moore, Michael Poore trouve de l’humour dans l’absurdité humaine la plus noire. » Chicago Review of Books
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