0.0
( 0 votes )
"Triste jeunesse n'est pas seulement une histoire. Pas seulement le tableau d'une certaine jeunesse marocaine. Triste jeunesse est aussi une écriture. Pas de grands mots, pas de métaphores, l'écriture de Mohamed Nedali est brute, sans fioriture." L'Echo Républicain. "Roman d'amour et roman social, Triste jeunesse se lit d'une traite." Philippe Delaroche, Lire. "Sa langue est cynique, sans illusions et néanmoins très poétique." Benjamin Locoge, Paris Match. "C'est un peu le Stefan Zweig marocain." Christine Orban.
Qu’en avez-vous pensé ?